Un Français sur deux n’a pas les réflexes qui sauvent face à une personne en danger. Chaque année, 20 000 vies pourraient pourtant être sauvées avec une meilleure connaissance des premiers secours. Pour y remédier, des formations aux gestes qui sauvent sont proposées tout au long de l’année par une multitude d'organismes de formation sur l'ensemble du territoire.
Un mantra pourrait être appris par tout le monde : Protéger, alerter, secourir. Des gestes simples pouvant sauver une vie lorsqu'une urgence se présente. Électrocutions, étouffements, noyades, brûlures… La majorité des accidents, soit 80%, surviendraient à domicile, selon les chiffres de la Croix-Rouge française.
Quels sont les gestes qui sauvent à connaître ?
Comme dit plus haut, les trois réflexes à avoir sont : alerter, protéger et secourir. Face à une situation d’urgence, la première chose à faire est de se protéger puis protéger la victime et les témoins. Ensuite, il faut alerter en appelant un des numéros d'urgence français. Ces services vont pouvoir nous poser toutes les questions importantes. Enfin, lorsqu’il est possible, secourir avec les gestes appris en formation de secours, notamment chez Action Secours 47 !
Quelles sont les situations qui exigent de réaliser ces gestes qui sauvent ?
Les situations sont diverses : brûlures, hémorragies, perte de connaissance. Face à un enfant ou un adulte qui s’étouffe, par exemple, vous pouvez réaliser une désobstruction des voies aériennes. Si une personne perd connaissance dans la rue, il est important d’avoir le réflexe de vérifier si elle respire. Si ce n’est pas le cas, elle peut-être en arrêt cardiaque. La réanimation doit commencer le plus vite possible !
Quel est le positionnement de la France dans la formation des gestes de secours ?
La moitié de la population n’est pas encore formée aux gestes qui sauvent selon les statistiques. Il est important de rappeler que le citoyen est le premier maillon de la chaîne de secours. Il faut vraiment se faire former pour réussir à intervenir en cas d’urgence. De plus en plus, les gestes sont enseignés aux plus jeunes, notamment lors de leurs passages au collège, puisque le PSC 1 est censé être obtenu en sortie de 3ème.
Pour appliquer ces gestes de secours, il faut au préalable les avoir appris. Les formations sont accessibles à tous des le plus jeune âge, alors autant ne pas s'en priver ! Quelles soient courtes pour découvrir les gestes plus importants (une formation GQS dure 3h environ), ou plus longues avec une certification reconnue par l'Etat (comme le PSC 1 qui dure 7h) : Tous les gestes sont importants ! Depuis quelques années, on observe une croissance importante du nombre de défibrillateurs sur notre territoire. Les clubs de sport, les communes, ou même les entreprises s'équipent. Il faut savoir qu'un défibrillateur est utilisable par n'importe qui qui viendrait le demander (et dont l'utilisation est justifiée). Même si ces machines sont conçues et étudiées pour être utilisées par tout le monde, une formation de quelques heures permet aussi de pouvoir se sentir moins démunie, et de prendre le temps de se familiariser avec cette utilisation.
Les applications qui sauvent !
Ces dernières années, plusieurs applications ont vu le jour. Partie d'une idée de base de géolocalisation des DAE disponible autour de soi, elles ont su évoluer et proposent désormais de se référencer pour aider.
Comment ça fonctionne ? Créez votre profil en renseignant votre identité, numéro de téléphone, et votre niveau de diplôme en secourisme.
Une fois référencé, vous pourrez recevoir une notification directement sur votre smartphone, si un arrêt cardiaque se est déclaré autour de vous. Si vous êtes disponible pour intervenir répondez "OUI", l'application vous communiquera alors le lieu d'intervention. Si vous n'êtes pas disponible et que vous répondez "NON", cela ne supprimera pas pour autant votre nom de la liste des secouriste.
Ces applications sont un bon moyen de maximiser les chances de survie lors de la survenue d'un arrêt cardiaque. Elles permettent de s'assurer que quelqu'un est en capacité d'intervenir en attendant que les secours arrivent.
Gestes qui sauvent : Savez-vous comment réagir ?
rédigé le 19 janvier 2022 par Tot'z
Un Français sur deux n’a pas les réflexes qui sauvent face à une personne en danger. Chaque année, 20 000 vies pourraient pourtant être sauvées avec une meilleure connaissance des premiers secours. Pour y remédier, des formations aux gestes qui sauvent sont proposées tout au long de l’année par une multitude d'organismes de formation sur l'ensemble du territoire.
Un mantra pourrait être appris par tout le monde : Protéger, alerter, secourir. Des gestes simples pouvant sauver une vie lorsqu'une urgence se présente. Électrocutions, étouffements, noyades, brûlures… La majorité des accidents, soit 80%, surviendraient à domicile, selon les chiffres de la Croix-Rouge française.
Quels sont les gestes qui sauvent à connaître ?
Comme dit plus haut, les trois réflexes à avoir sont : alerter, protéger et secourir. Face à une situation d’urgence, la première chose à faire est de se protéger puis protéger la victime et les témoins. Ensuite, il faut alerter en appelant un des numéros d'urgence français. Ces services vont pouvoir nous poser toutes les questions importantes. Enfin, lorsqu’il est possible, secourir avec les gestes appris en formation de secours, notamment chez Action Secours 47 !
Quelles sont les situations qui exigent de réaliser ces gestes qui sauvent ?
Les situations sont diverses : brûlures, hémorragies, perte de connaissance. Face à un enfant ou un adulte qui s’étouffe, par exemple, vous pouvez réaliser une désobstruction des voies aériennes. Si une personne perd connaissance dans la rue, il est important d’avoir le réflexe de vérifier si elle respire. Si ce n’est pas le cas, elle peut-être en arrêt cardiaque. La réanimation doit commencer le plus vite possible !
Quel est le positionnement de la France dans la formation des gestes de secours ?
La moitié de la population n’est pas encore formée aux gestes qui sauvent selon les statistiques. Il est important de rappeler que le citoyen est le premier maillon de la chaîne de secours. Il faut vraiment se faire former pour réussir à intervenir en cas d’urgence. De plus en plus, les gestes sont enseignés aux plus jeunes, notamment lors de leurs passages au collège, puisque le PSC 1 est censé être obtenu en sortie de 3ème.
Pour appliquer ces gestes de secours, il faut au préalable les avoir appris. Les formations sont accessibles à tous des le plus jeune âge, alors autant ne pas s'en priver ! Quelles soient courtes pour découvrir les gestes plus importants (une formation GQS dure 3h environ), ou plus longues avec une certification reconnue par l'Etat (comme le PSC 1 qui dure 7h) : Tous les gestes sont importants ! Depuis quelques années, on observe une croissance importante du nombre de défibrillateurs sur notre territoire. Les clubs de sport, les communes, ou même les entreprises s'équipent. Il faut savoir qu'un défibrillateur est utilisable par n'importe qui qui viendrait le demander (et dont l'utilisation est justifiée). Même si ces machines sont conçues et étudiées pour être utilisées par tout le monde, une formation de quelques heures permet aussi de pouvoir se sentir moins démunie, et de prendre le temps de se familiariser avec cette utilisation.
Les applications qui sauvent !
Ces dernières années, plusieurs applications ont vu le jour. Partie d'une idée de base de géolocalisation des DAE disponible autour de soi, elles ont su évoluer et proposent désormais de se référencer pour aider.
Comment ça fonctionne ? Créez votre profil en renseignant votre identité, numéro de téléphone, et votre niveau de diplôme en secourisme.
Une fois référencé, vous pourrez recevoir une notification directement sur votre smartphone, si un arrêt cardiaque se est déclaré autour de vous. Si vous êtes disponible pour intervenir répondez "OUI", l'application vous communiquera alors le lieu d'intervention. Si vous n'êtes pas disponible et que vous répondez "NON", cela ne supprimera pas pour autant votre nom de la liste des secouriste.
Ces applications sont un bon moyen de maximiser les chances de survie lors de la survenue d'un arrêt cardiaque. Elles permettent de s'assurer que quelqu'un est en capacité d'intervenir en attendant que les secours arrivent.